En ces temps de reconstruction, de renaissance, de renouveau, notre avenir est dessiné par les tumultes économiques relatés dans nos médias.
Ce sont par ces images que nous voyons peu à peu les bons signaux au fil des semaines. Les recruteurs remettent le couvert pendant que les invités attendent sur le palier. Tout est préparatif et modification de contrats ou d’événements, les sourires retrouvent peu à peu leur éclat et les bookeurs et bookeuses chauffent à nouveau leur téléphone.
Le CoVid, c’est un peu “Je t’aime, moi non plus”. En attendant une hypothétique deuxième vague, les français prennent le risque de reprendre le bateau et de naviguer à vue. Bas les masques sauf pour nos hôtesses et animateurs qui, équipés par les agences, reprennent avec plaisir (et amour pour certains !) leur travail.
"Un métier renforcé"
Le travail d’accueillir des personnes. Cette définition simple est une réponse toute trouvée à l’enfermement de ces derniers mois. Ce travail qui définit l’un des métiers les plus nobles pour sa capacité à apporter du positif, du relationnel, de la communication, bref un métier qui sortira renforcé tant certaines de ces valeurs sont parfois mises en danger par les excès des technologies.
Mais regardons plus loin désormais car c’est bien notre futur dont il s’agit. Et si nous visualisions fermement, jour après jour, que l’après sera mieux que l’avant ? Et si nous l’accordions déjà au présent ?
"Les acteurs ont des fourmis dans les jambes"
A ce titre, l’activité du site Hôtesses Connexion a doublé par rapport au mois précédent et les candidatures par offre d’emploi n’ont jamais été aussi élevées. Les acteurs ont des fourmis dans les jambes ! De belles choses sont à venir et notamment des événements mythiques comme Roland-Garros, le Tour de France ou le Vendée Globe ces prochains mois.
Fière de son parcours et désormais impatiente, notre équipe n’en démord pas, elle ira encore plus loin dans sa capacité à servir et à répondre à un besoin. L’objectif est ambitieux mais ô combien essentiel pour faire évoluer le marché, et par répercussion, un petit peu de notre monde.